Des fois, y’a des trucs nuls…

Kriss crumble et graffitis

Kriss, elle m’évoque irrésistiblement les après-midi d’été ensoleillés de mes 15 ans, où je me collais à mon poste de radio quand j’entendais le générique de Vangelis, et sa voix moqueuse et suave…

Plus tard, avant l’ère des podcasts, il m’est arrivé de faire traîner le boulot jusqu’à 3 ou 4 heures du matin, pour écouter la rediffusion d’un Portrait Sensible que j’avais loupé l’après-midi.
C’est d’ailleurs pour ça que j’ai fini par étudier sérieusement le mode d’emploi hermétique de ma chaine-stéréo japonaise, pour pouvoir les enregistrer et me les repasser en boucle, les jours où il faisait gris…

Avec Kriss, j’ai toujours rencontré des gens passionnés, porteurs d’idées et d’espoir…
Ça paraît cucul à dire, mais je ne trouve pas d’autre manière que de dire qu’elle me rendait le monde moins gris.

Aujourd’hui, Kriss, c’est la première fois que tu me déprimes. Voire même tu fais chier.