Faut que j’arrête d’essayer de numéroter mes essais, je sais compter jusqu’à 3 et après, je sais plus où j’en suis.
Et puis, il y a des mystères plus urgents, comme les transitions aléatoires de Painter et Photoshop… Pas réussi à saturer le crayonné de Flying Horns and the Flat Bird dans Photoshop.
Ce logiciel et ses outils sont une société secrète.
Voire un biotope en création, qui mijote dans sa soupe primordiale et change ses paramètres dès qu’on part faire pipi.
Chercher une idée. Pas trouver. Pas être foutue de refaire ce qu’on a déjà fait. Trouver des outils de fou. Pas savoir quoi en faire. Déraper sur la tablette.
Krott.
Moral en berne. Ça aide pas.
J’ai quand même fait la bouche avec Photoshop.
Depuis des années, j’achète religieusement chaque mise à jour de Painter. Tout ça pour passer 97% de mon temps sur Photoshop et 2% sur Illustrator.
Va falloir que ça change.
Même avec cette *%&# tablette qui glisse.
Since years, I devoutly buy every Corel Painter update. Only to spend 97% of my time on Photoshop and 2% on Illustrator.
It has to change.
Despite that *%&# slippery tablet.
Avec un des crayons, (mais évidemment, je sais déjà plus lequel. Faut que je trouve ou que j’active l’historique), un peu d’aéro, et l’effet fourrure qui doit représenter 50% de mes utilisations de Painter ces dernières années, les autres 50% étant les jets de motifs…