Je vous laisse répondre à cette question.
Un dessin par jour, déjà c’est assez foiré. Dans l’idéal, faudrait en plus qu’il soit intéressant. Genre raconter une mini-histoire à chaque fois.
Mais la vie n’a rien d’idéal, et là, j’ai pas le temps de m’occuper plus de Pamela, déjà que je sèche sur Julie.
Alors débrouillez-vous avec elle.
Pamela c’est une fille qui mange que des litchis pour rester mince. Et puis un jour, à force de manger que ça, elle se rend compte qu’elle passe à coté de plein de trucs. Alors elle enlève ses vilaines lunettes vertes et elle découvre les agrumes. Et à la fin, elle mange que des pomélos. Pamela et les pomélos. Voilà.
J’peux pas faire mieux, ma gamine m’a réveillé de minuit à 2 heures du matin…
Non, mais c’est bien quand même ! :-DD
Pamela, femme au foyer dans les années 60, s’illustra dans le mouvement de revendication féministe en devenant mannequin pour Phildar.
Oui, c’est tout…
C’est sobre, mais ça se défend. Oui, Phildar nous a fait beaucoup de mal dans les 60’s et les 70’s.
[A lire avec la voix de Frédéric Mitterand sinon rien]
Pamela, après un sombre passé d’icône du silicone-porno et plusieurs mariages toxiques, s’est teint les cheveux, s’est fait dégonfler les boobs, a décidé de ne porter que des lunettes assorties à ses pantalons, et est revenue aux sources… à l’essence même de son être le plus profond : le tissu imprimé.
Fière héritière d’une maman porte-drapeau de l’extravagance textile des seventies, elle renoue avec cette mère perdue et désormais absente de son quotidien. Au grenier, elle ouvre les malles soigneusement rangées, dans un alignement quasi-psychotique, choisit une robe, un pantalon, une jupe, et renoue ainsi avec la figure maternelle.
Les effluves du parfum de sa mère, encore captif des malles, et la musique des Doors en fond sonore très présent, donnent chaque jour une teinte très particulière à cette tranche de vie de Pamela. Pam se cherche après s’être si souvent perdue…
C’est la dure lutte de Pamela…..
J’adore, j’adore, j’adore ! :-)))
Pamela vit à St Maur des fossés, et avec ses copines du cours de salsa, est folle des boutiques vintage !
On peut se demander si elle a été bien conseillée par son coiffeur, Lulu, et par Henriette, la proprio de la boutique « mod’encore » où elle a déniché cette tenue topissimme.
Elle est un peu désespérée car elle n’a toujours pas vu venir, au guichet de la Poste où elle travaille, le bel italien branché dont elle rêve.
Alors, en 2015, c’est décidé, elle va céder à la modernité et s’inscrire sur un site de rencontre… Espérons qu’elle pensera à ôter ses lunettes vertes pour la photo de son profil 🙂
Personne n’aime ses lunettes… sauf moi !… Excellente biographie, cependant. :-)))