En fait, je crois que le mot « Doodle » figurait dans une des listes des années précédentes… Mais j’aime bien doodler.

En fait, je crois que le mot « Doodle » figurait dans une des listes des années précédentes… Mais j’aime bien doodler.
J’ai la tête dans des trucs laborieux qui me siphonnent le temps et l’inspiration, pour des résultats que je n’ai pas envie d’exposer ici. Oui, ce métier n’est pas que poésie et talent ininterrompus. Des fois, on se fait iéch.
Pendant ce temps, Inktober est stationnaire.
J’avais ce dessin pas fini sur l’iPad depuis quelques mois, un de ceux où j’expérimente au hasard les brosses et les outils de Procreate… Le truc agaçant, c’est que les possibilités sont infinies, vu le nombre de paramètres qu’on peut modifier sur chaque pinceau, ce qui est plus déstabilisant qu’autre chose, en fin de compte. C’est comme un labyrinthe, on se perd dans de multiples ramifications… Et on n’a pas besoin de quelques mois pour oublier comment on a fait certains trucs.
On les fait, sur le coup, on n’y prête pas attention, et 20 minutes après, on se demande. Et on a beau réessayer tous les outils les uns après les autres… Que dalle.
Ça m’énerve.
Enfin bon, j’ai repris ce dessin, créé cette petite ambiance, et je le glisse dans la boite d’Inktober.
#Inktoberpremium : Léonie/Zelda, the wind Waker.
Débrouillez-vous avec ça. J’ai commencé ça au Rita Plage pendant une session de « Meufs on stage », et un jeune type est venu me dire « On dirait Zelda ! », j’en déduis que j’ai bon.
Je peux pas m’empêcher.