This is the end…
Beautiful friend,
This is the end
My only friend, the end
It hurts to set you free
But you’ll never follow me
The end of laughter and soft lies
The end of nights we tried to die…
(The Doors, « The end », extrait.)
This is the end…
Beautiful friend,
This is the end
My only friend, the end
It hurts to set you free
But you’ll never follow me
The end of laughter and soft lies
The end of nights we tried to die…
(The Doors, « The end », extrait.)
Je fais beaucoup trop de trucs sérieux en ce moment. Alors une histoire minuscule et idiote, ça me détend.
3 jours que je suis bloquée à la maison à attendre un colis hyper-important, et j’apprends des trucs sur ma vie.
Du genre que hier, j’étais absente (ben non, j’emmène même le téléphone avec moi quand je vais faire pipi, au cas où le livreur aurait la bonne idée de m’appeler) et qu’on m’a laissé un message (introuvable, ou alors totalement dématérialisé à un niveau atomique) qui me demande de recontacter TNT (depuis, je les ai appelés 3 fois, sans aucun résultat notable).
Et ce matin, à 9h30, j’aurais refusé le colis (alors que je l’attends comme le messie, et que je n’ai vu personne).
Me demande si je pourrai descendre la poubelle un jour.
Avant de passer pour un syndrome de Diogène.
Je me demande si les pattes ont chacune une vitesse, et si on les additionne pour obtenir la vitesse de déplacement globale de la créature…
Quand j’étais petite, on a eu un cochon d’Inde qui s’appelait Petites Pattes.