Je fais beaucoup trop de trucs sérieux en ce moment. Alors une histoire minuscule et idiote, ça me détend.

Je fais beaucoup trop de trucs sérieux en ce moment. Alors une histoire minuscule et idiote, ça me détend.
3 jours que je suis bloquée à la maison à attendre un colis hyper-important, et j’apprends des trucs sur ma vie.
Du genre que hier, j’étais absente (ben non, j’emmène même le téléphone avec moi quand je vais faire pipi, au cas où le livreur aurait la bonne idée de m’appeler) et qu’on m’a laissé un message (introuvable, ou alors totalement dématérialisé à un niveau atomique) qui me demande de recontacter TNT (depuis, je les ai appelés 3 fois, sans aucun résultat notable).
Et ce matin, à 9h30, j’aurais refusé le colis (alors que je l’attends comme le messie, et que je n’ai vu personne).
Me demande si je pourrai descendre la poubelle un jour.
Avant de passer pour un syndrome de Diogène.
Je me demande si les pattes ont chacune une vitesse, et si on les additionne pour obtenir la vitesse de déplacement globale de la créature…
Quand j’étais petite, on a eu un cochon d’Inde qui s’appelait Petites Pattes.
Ne me demandez pas pourquoi, j’ADORE ce dessin !
Je l’adore tellement que j’ai fait une suite…
Et il faut que je réindexe tous mes dessins avec « Histoires Minuscules »)
Le principe des Duos Idiots, c’est que je dessine au hasard, sans intention précise, jusqu’à ce que quelque chose s’impose. (Donc, forcément un personnage et/ou un monstre, puisqu’il n’y a que ça qui m’intéresse.)
Et après, il faut que je me débrouille pour en faire une histoire minuscule.
Les « Histoires Minuscules », c’est un bon titre, ça…
Je continue à bosser sur des sujets de société, mais les Duos Idiots, ça me vient plus facilement.