L’ennui avec le numérique (j’en ai peut-être déjà parlé), c’est qu’on travaille sur des grands écrans et, forcément, on zoome à mort sur ce qu’on fait.
Alors on perd un temps fou à bidouiller des détails microscopiques ou on corrige des imperfections infinitésimales, que personne ne remarquera jamais, même pas les machines qui vont imprimer la couv d’un magazine qui fait 15cm de large.
Des fois, je me bafferais.