Liesse en Principauté

ROBERT THE SNAIL IS ALIVE AND KICKING !

Snai lRobert princessh escargot.jpg

Robert se demande ce qu’il fout dans cette jardinière en altitude, qu’il ne fréquente pas habituellement, mais qui est vachement mieux éclairée que celle où on l’a trouvé.

Snail Robert princessh illustration photo escargot

Le mou doux visage de Robert.
(Non, j’ai pas eu le temps de régler la profondeur de champ, il bougeait trop vite !)

Snail escargot Robert princessh illustration

En fait, on soupçonne Robert de picoler un peu, parce qu’on l’a trouvé à côté de l’endroit
où se trouvait le Bar à Limaces quelques minutes auparavant.
limace bar bière

Pas de chance pour lui, on venait de l’enlever pour évacuer les cadavres.
Oui, parce que la limace se bourre à la bière (blonde, 1e prix chez G20), il faut le savoir.
Et quand Sa Précieuse Infinitude la pousse, accidentellement, elle tombe dedans et elle se noie.

D’aucuns prétendent que la Principauté a commis un génocide écologique, voire même une extinction, sur Janine et sa encore plus nombreuse famille qu’on croyait.
Ce à quoi la Chancellerie répond que plus de 200 limaces dans une seule jardinière de 25X95cm, totalement dépourvue de prédateurs puisque les hérissons n’habitent pas au quatrième étage (contrairement aux escargots appelés Robert), et que la présences de deux félins carnivores sur le balcon dissuade les oiseaux de venir se goinfrer du mollusque, c’est quand même la preuve que l’extinction de la petite limace grise n’est pas à redouter.

Et qu’elles sont là juste pour faire chier sa Jardinièrissime Altessité, et nuire à ses plants de tomate et de potimarron.

Et pis, on va pas se laisser emmerder par de la limace soûle, non plus.

Sans déconner, ça vit combien d’années, un escargot ?

(Je crois que c’est un petit-gris)

La faune de la principauté

En plus de deux chats, la principauté abrite un escargot qui s’appelle Robert.

Robert l'Escargot

Je ne sais plus où j’ai rencontré Robert, c’était forcément quelque part dans Paris, mais ni dans un parc, ni dans un square ; sinon la Principauté ne lui aurait pas proposé le statut de réfugié.
Et je me souviens plus non plus quand c’était, mais ça doit bien faire 2 ou 3 ans.
Il est très costaud, Robert, il a même survécu à la sécheresse du printemps 2007, et au gel de cet hiver (contrairement au ficus tomaticide).
Robert est très discret. Il vit sur le balcon, on le perd de vue pendant environ 363 jours, et ensuite on le croise. L’autre jour, il était caché dans l’arrosoir. Comme il coulait mal, j’ai regardé et j’ai trouvé Robert.
Aujourd’hui, il était à côté du gros pot où il y a la rhubarbe et la clématite Montana. Je crois qu’il faisait ses petits besoins quand je l’ai dérangé pour la photo…
Désolée, Robert…

PS : quand ça sera plus la crise, faudra vraiment que j’achète un vrai appareil-photo, hein…